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Date : 5/28/2011
Lieu : Aywaille.
Activité : Le Béron-Ry.

Description :

Participants : Greg-Oli-Doris-Nathan-Leon.


Ce samedi matin nous sommes partis tôt au Béron-Ry, notre objectif allez au fond de la cavité et profiter du fait que nous ne sommes pas nombreux pour allez visiter quelques réseaux que nous ne connaissons pas.
C’est vers 10h30 que nous rentrons dans la cavité, pour la première fois nous avons décidé de se charger du kit photo, pas très évident dans un dédale d’étroitures et de passages peu évident…pas grave.

Tout se déroule sans aucun souci et nous arrivons très vite à la base des puits. Là, les choses se corsent, c’est partis pour la portion d’étroitures, de souffrance, de sueur…même Oli se retrouve coincé comme une grosse larve essayant de sortir de son cocoon.

Une fois toute cette partie infâme, passée, nous arrivons dans le métro et là, la grotte prend une toute autre taille, direction le Doubs, méandre énorme avec parfois quelques passages bas, forme de régime noyé, grande salle. Bref un délice de retrouver un tel volume en Belgique, surprenant, c’est toujours un véritable plaisir de faire et de refaire et de redécouvrir cette cavité.

Les endroits vont permettre d’effectuer une belle séance photo, de nombreuses concrétions sont mises à contributions sous les flashes crépitant pour immortaliser les sujets. Sur la totalité du parcours, de nombreux passages seront explorés ainsi que deux puits remontants.

Ce qui nous a fortement étonnés, une fois arrivés dans le Métro est la quantité d’alluvions « vierge » que nous découvrons sous nos pieds. Des tonnes, des tonnes d’alluvions, de boue, se trouvent coincés dans toutes les salles, les méandres, les bassins sans aucunes empreintes de pied. Tout cela provient des crues à répétition du début d’année et vu l’immaculation de sapins d’argiles, telles qu’une colonie de milliard de verres de terres auraient pu labourer cet ensemble, nous savions que nous étions les « premiers ».

Pour la remontée, Léon et moi, déséquipons, et chacun de nous lors de la remontée, glissera en ce faisant une grosse frayeur, vu l’engluement de boue sous nos bottes.


Greg.
TPST : 5h.

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