Détail du compte rendu
| Date : |
9/26/2015 |
| Lieu : |
Lustin. |
| Activité : |
Trou d'Haquin |
Description :
En tant que débutants en spéléologie, nous avons trouvé que cela était une expérience différente de celles que nous vivons quotidiennement.
En effet, peu de gens ont l’occasion de vivre cette visite de 4 heures que nous avons vécu ensemble accompagnés de 3 passionnés de la spéléologie ainsi que de notre famille. Cette aventure plus physique qu’il n’y paraît a beaucoup pour plaire à des personnes voulant découvrir de nouvelles choses et sensations.
Alternant passages étroits et grands espaces, le Trou d’Haquin contient des parcours plus aisés pour les débutants mais aussi plus complexes pour les gens ayant plus d’expérience.
Bref, cet endroit est un lieu parfait pour les personnes passionnées de spéléologie et pour les gens qui ont soif d’aventure.
Julien (14 ans) Alex (12 ans), Achille (13 ans)
Léon, Gi, Sam, merci.
Franchement c’était cool. Juste assez compliqué pour qu’on souffre un peu, mais pas trop pour que 2 vieux croûtons comme nous aient (encore) le sentiment d’être de grand sportifs, et qu’on ne se fasse pas larguer par nos mômes.
Et en plus avec la petite dose de stress quand on rentre dans le c .. de cheval et on se laisse glisser dans la boite au lettres, qui oppresse la poitrine juste un petit peu qu’on se demande comment ceux (ou celles) qui en ont plus que nous passent … ;-)
Vous étiez vraiment sympa et accueillant, et on a vraiment ressenti la passion de la spéléo qui vous anime. Même qu’à la fin, on n’était même pas fâché d’être bien dégueulasses et trempés. Et c’est sans rancune qu’on a rit à la bonne blague de Sam qui nous a envoyé vers la mauvaise sortie et qu’on a pris une douche sous la cascade… avant de devoir faire demi-tour et de repasser à nouveau dessous. Bon, c’est vrai qu’il a payé de sa personne puisqu’il nous a accompagné…
Merci aussi à Gi, dont le sacrifice est désormais gravé nos mémoires. La prochaine fois, il faudra penser à prendre des piles de rechange pour les lampes des enfants.
Et enfin, merci à Léon, dont le flegme nous fait croire que ce n’était même pas dangereux d’être à 50 m sous terre coincé dans un boyau. Heureusement, il a attendu qu’on soit sorti pour nous narrer ses histoires d’anciens combattant de la spéléo, et nous faire réaliser qu’on avait vraiment eu beaucoup de chance de s’en être sorti indemne !
A conseiller et à refaire, c’est sûr !
Christophe et Kenya (les papas)
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